les Actus
Sur cette page l'actualité apicole du moment au gré des contributions et sources d'information.

Samedi 28 juin 2025
Une matinée à double objectifs. Distribution des commandes de médicaments de traitement anti varroa, formation continue ( voir la page dédié Formation continue )
Bien préparée tout au long de la journée du vendredi 27 la séance de distribution a été d'une très bonne fluidité, pas de queue ou d'attente, Brigitte s'occupait de l'émargement des récipiendaires et la distribution a été rapide.
Café croissants attendaient les visiteurs pour la bone convivialité du moment.
Une grand remerciement Jérôme et Marie pour tout le travail fastidieux que cette opération a généré en amont et Christophe le président a souligné et félicité leur engagement au service de tous les membres du GDSA25.
Les laboratoires nous ont fait défaut sur quelques produits comme les poches de 4 bandes APIVAR et les Poches de 60 bandes APIVAR mais relancés dès lundi à venir il ne sera pas manqué de faire parvenir ces oublis dès réception.
La distribution s'achevant place était donnée aux intervenantes pour participer à la formation théorique continue sur les thèmes suivants, la Loque européenne & américaine, le virus ECBV dit de la paralysie chronique par Sandra Bourdet et l'intérêt de la biotechnique de l'encagement des reines pour lutter contre la propagation du Varroa Destructor par Marie Vacher. ( Voir la page "formation continue")
20 juin 2025
Pluie et miellée, un fragile équilibre
Philippe Royer·Jun 19
Les aléas climatiques ont toujours rythmé la vie de l’apiculteur. Parmi eux, la pluie et les orages occupent une place singulière. Fréquents au printemps et en été, ils peuvent jouer un rôle décisif sur la dynamique des miellées. Si l’on sait que les abeilles volent peu, voire pas du tout, en cas d’averse, les conséquences ne se limitent pas à une simple réduction de l’activité de butinage.
Lure la suite
19 juin 2025
🐝 À découvrir : la plateforme diagnostic.arthropologi…
diagnostic.arthropologi… est une plateforme collaborative lancée le 16 juin 2025 par Arthropologia et l’Office français de la biodiversité (OFB). Elle vise à soutenir toutes les initiatives en faveur des insectes pollinisateurs — domestiques comme sauvages.
🔍 Ressources pratiques Des guides classés par usages (jardins, espaces verts, voirie, agriculture), des webinaires et des retours d’expérience territoriaux.
🛠️ Un outil de diagnostic personnalisé Avec Diag’ pollinis’Actions (diagnostic.arthropologi…), évaluez la qualité de votre environnement apicole et identifiez les actions à mettre en place : floraison, abris, gestion différenciée, sensibilisation…
🌼 Pourquoi c’est utile aux apiculteurs ? La plateforme permet de mieux articuler apiculture et préservation des pollinisateurs sauvages. Elle favorise l’intégration des apiculteurs dans des projets locaux de protection de la biodiversité.
📌 Plus d’infos et documents à télécharger : 👉 diagnostic.arthropologi…
16 juin 2025
🐝 À l’occasion de sa promotion estivale, les éditions Quae proposent du 16 au 26 juin 2025 une offre attractive : pour deux ebooks achetés, un troisième est offert parmi une sélection de titres numériques.
Parmi les ouvrages concernés figure La démocratie chez les abeilles de Thomas D. Seeley, proposé au prix exceptionnel de 4,99 € en version ebook. Ce livre de référence explore avec rigueur scientifique la manière dont les abeilles prennent collectivement leurs décisions lors de l’essaimage, sans chef ni hiérarchie — un modèle fascinant d’intelligence collective.
Une lecture à la fois accessible et documentée, à ne pas manquer dans le cadre de cette offre limitée.
7 juin 2025
La bondrée apivore, une espèce prédatrice alliée des apiculteurs
Philippe Royer·Jun 17
Alors que le frelon asiatique ou à pattes jaunes (Vespa velutina) continue d’imposer sa pression sur les ruchers européens, une étude récente menée en Galice (Espagne) met en lumière un allié naturel complètement négligé : la bondrée apivore (Pernis apivorus


Une nouvelle approche pour lutter contre Varroa destructor
Un espoir de lutte naturelle grâce à un agent de biocontrôle fongique.
Depuis plusieurs décennies, Varroa destructor constitue une menace majeure pour l'abeille domestique (Apis mellifera). Vous le savez, ce parasite affaiblit les colonies en se nourrissant de leur hémolymphe et en transmettant divers virus. Face à des méthodes de lutte qui cherchent à s’améliorer et aux problèmes de résistance que rencontre les méthodes conventionnelles, une étude récente ouvre une nouvelle voie : l'utilisation de champignons entomopathogènes.
Une solution biologique prometteuse
Publiée en 2018 dans Acarologia, publication scientifique consacrée à l'acarologie, cette étude innovante se concentre sur l'analyse des effets du champignon entomopathogène Metarhizium anisopliae var. anisopliae BIPESCO 5, une souche particulièrement prometteuse. Dans le cadre d'expériences contrôlées en laboratoire, les chercheurs ont minutieusement étudié l'impact de la présence de spores fongiques sur la surface corporelle des abeilles et comment cette présence influence significativement le comportement de sélection d'hôte chez Varroa destructor, un aspect crucial pour comprendre la dynamique parasite-hôte.
Les résultats sont prometteurs. Les tests comportementaux ont démontré que les acariens évitaient systématiquement les abeilles porteuses de spores fongiques, préférant nettement se fixer sur les abeilles non traitées. Cet effet répulsif significatif marque une avancée importante dans le biocontrôle du parasite.
Qu'est-ce qu'un champignon entomopathogène ?
Les champignons entomopathogènes sont des micro-organismes qui infectent et tuent les insectes et autres arthropodes. Ils agissent en pénétrant la cuticule de leur hôte, proliférant à l’intérieur de son corps et libérant des toxines. Parmi les espèces les plus utilisées en biocontrôle, on retrouve Metarhizium anisopliae et Beauveria bassiana. Ces champignons présentent plusieurs avantages :
Spécificité élevée : Ils ciblent principalement les organismes nuisibles sans affecter les autres espèces.
Respect de l’environnement : Contrairement aux pesticides chimiques, ils ne laissent pas de résidus toxiques.
Résistance réduite : Les parasites développent moins fréquemment des résistances face aux champignons. Ces propriétés en font des candidats idéaux pour la gestion durable des parasites dans l’agriculture et l’apiculture.

Doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata) tué par Beauveria bassiana, un champignon qui cause la muscardine blanche et sert d'insecticide biologique contre les ravageurs.
Amélioration grâce à l'évolution dirigée
Une étude complémentaire, publiée en 2021 dans Scientific Reports, présente une version améliorée du champignon Metarhizium brunneum. La nouvelle souche JH1078, développée par évolution dirigée, survit ainsi aux températures élevées des ruches (35 °C). Elle démontre une meilleure germination et croissance, rivalisant avec l'efficacité des traitements chimiques traditionnels comme l'acide oxalique, sans effets négatifs sur les colonies.
Identification d'ennemi naturels supplémentaires
Une autre publication récente (novembre 2024) dans Biocontrol Science and Technology a identifié de nouveaux ennemis naturels de Varroa destructor dans l'est de l'Amérique du Nord. Les champignons entomopathogènes Metarhizium anisopliae et Beauveria bassiana se sont révélés capables d'infecter et d'éliminer Varroa destructor.
Bien que ces résultats supplémentaires renforcent le potentiel du biocontrôle fongique, leur efficacité varie selon les conditions environnementales et les souches utilisées. Des recherches complémentaires permettront d'identifier les souches optimales et leurs méthodes d'application. Il faut donc patienter.
Perspectives d'avenir et conclusions
Malgré ces avancées prometteuses, l'évaluation de ces champignons en conditions réelles reste nécessaire. Des interrogations persistent notamment sur leurs interactions avec les colonies d'abeilles et leurs effets sur la santé globale des ruches et sur les effets éventuels sur les produits de la ruche.
Le biocontrôle fongique, notamment par Metarhizium anisopliae et la souche JH1078 de Metarhizium brunneum, représente une approche prometteuse contre Varroa destructor, bien que son efficacité reste à confirmer à grande échelle. Cette alternative aux méthodes conventionnelles pourrait potentiellement transformer la lutte antiparasitaire en apiculture, sous réserve d'une validation des protocoles d'application.
La découverte d'agents supplémentaires comme Beauveria bassiana enrichit l'arsenal disponible, mais souligne également la nécessité de développer des stratégie adaptées et validées.
Nous restons en veille, l’avenir nous dira si ces voies sont véritablement sérieuses et que la recherche continue !
En résumé
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Varroa destructor représente une menace majeure pour l'abeille domestique, affaiblissant les colonies et transmettant des virus.
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Les champignons entomopathogènes, notamment Metarhizium anisopliae et Metarhizium brunneum, montrent un potentiel prometteur comme agents de biocontrôle.
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La souche JH1078 de M. brunneum, développée par évolution dirigée, survit aux températures des ruches et rivalise avec les traitements chimiques.
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Ces solutions biologiques offrent des avantages significatifs : spécificité élevée, respect de l'environnement et risque réduit de résistance.
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Bien que prometteurs, ces traitements nécessitent encore une validation à grande échelle et une évaluation approfondie de leurs effets sur la santé globale des ruches.
Ressources
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Fernández-Ferrari, María Celeste ; Angeli, Sergio and Schausberger, Peter. 2018 - Volume: 58 Issue: 2 pages: 287-295 ; Effects of Metarhizium anisopliae on host choice of the bee-parasitic mite Varroa destructor, Reinbacher. https://doi.org/10.24349/acarologia/20184241
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Han, J.O., Naeger, N.L., Hopkins, B.K. et al. Directed evolution of Metarhizium fungus improves its biocontrol efficacy against Varroa mites in honey bee colonies. Sci Rep 11, 10582 (2021).
https://doi.org/10.1038/s41598-021-89811-2 -
Posada-Flórez, F., Sonenshine, D., Evans, J., Boncristiani, D., Pava-Ripoll, M., & Cook, S. (2024). Natural enemies of Varroa destructor identified from Eastern North American honey bee colonies: a biological survey of candidates for mite control from Maryland, USA. Biocontrol Science and Technology, 35(1), 52–70.
https://doi.org/10.1080/09583157.2024.2430469

Ce podcast propose une synthèse de l’article « Rôle des abeilles domestiques dans la pollinisation », à retrouver sur media.lactudesapiculteurs.fr
Pour écouter le pod cast cliquez sur le lien ci dessous ou recopiez le dans votre navigateur :
https://open.substack.com/pub/apiculteurs/p/la-vraie-histoire-de-la-pollinisation?r=5vrdlv&utm_campaign=post&utm_medium=email


L'économie illusoire en apiculture
#77 | Pratique | Idées reçues | Quand économiser coûte plus cher
Certaines décisions prises dans une logique d’économie immédiate peuvent s’avérer contre-productives à moyen et long terme. Cet article met en lumière les choix qui, sous couvert de rationalisation des dépenses, conduisent paradoxalement à des pertes financières, sanitaires et productives plus importantes.
Le coût réel des traitements contre Varroa destructor
Le V. destructor demeure l’un des principaux facteurs de pertes de colonies en Europe. Pourtant, certains apiculteurs hésitent encore à investir dans des traitements adaptés, perçus comme trop onéreux.
En réalité, le calcul économique est sans appel : le traitement annuel par ruche coûte en moyenne 7,50 € (hiver, été), tandis que le remplacement d’une colonie perdue peut s’élever à environ 200 €, sans compter les pertes indirectes liées à la baisse de production de miel, à l’effondrement de la dynamique de la colonie, ou au temps passé à reconstruire la population. Selon plusieurs études, dont celles de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES), le non-traitement entraîne une surmortalité hivernale pouvant dépasser 30 %.
👉 Conclusion : ne pas traiter revient à hypothéquer la saison suivante. Ce n’est pas une économie, mais une dette différée.

Alimentation hivernale : le dilemme entre miel et sirop.
Certains apiculteurs préfèrent laisser aux abeilles les hausses pleines de miel pour passer l’hiver, dans l’idée de leur offrir un aliment naturel. Ce choix, bien intentionné, a pourtant des conséquences économiques notables.
Le miel conservé dans la ruche représente un manque à gagner direct : chaque hausse non récoltée est autant de produits invendus. À l’inverse, une alimentation au sirop de sucre bien dosée et administrée au bon moment permet de couvrir les besoins hivernaux à moindre coût.
Aucune étude n’a démontré que les abeilles survivent mieux avec du miel qu’avec un sirop adapté. Toutefois, la qualité du sirop, sa composition et sa conservation sont des éléments à maîtriser pour garantir une bonne assimilation sans risques de fermentation.
👉 Conseil : réserver le miel aux marchés, et le sirop à l’hivernage, tout en assurant une bonne gestion des réserves.

Reines à bas prix : de fausses bonnes affaires
L’achat de reines peu coûteuses, issues de filières peu contrôlées ou importées sans traçabilité, expose l’exploitation à de nombreux risques : agressivité des colonies, mauvaise tenue sur le couvain, sensibilité accrue aux maladies.
Investir dans des reines sélectionnées, provenant d’élevages “certifiés”, garantit une meilleure performance globale : douceur, ponte régulière, rusticité. À titre d’exemple, une reine à bas coût peut être vectrice de virus comme le DWV (Deformed Wing Virus), dont les effets à long terme sont délétères.
👉 Astuce : intégrer l’achat de reines de qualité dans le plan d’exploitation plutôt que le considérer comme un coût exceptionnel.
Les coûts invisibles de l’improvisation
Derrière chaque ruche mal suivie ou chaque saison mal préparée, se cachent des pertes difficilement quantifiables : récoltes manquées, essaims perdus, interventions d’urgence coûteuses. Ces « coûts invisibles » résultent d’un manque d’anticipation.
Un exemple fréquent : un apiculteur qui manque de hausses lors d’une miellée de colza verra non seulement son miel cristalliser dans les cadres, mais risque aussi l’essaimage de ses colonies, avec les pertes de productivité que cela implique.
👉 Règle d’or : planifier, vérifier, et anticiper. L’improvisation coûte plus cher que l’investissement en temps.
La formation, un investissement stratégique
L’apiculture exige aujourd’hui des compétences sans cesse actualisées. S’informer des avancées scientifiques, participer à des stages, échanger avec des apiculteurs expérimentés sont autant de moyens d’éviter les erreurs coûteuses.
La formation permet également de mieux prévoir ses besoins en matériel, d’optimiser les dépenses, et d’adapter ses pratiques aux conditions locales. C’est un levier essentiel de performance économique, même à l’échelle d’un petit rucher.
👉 À retenir : la formation prévient bien plus d’erreurs qu’elle ne coûte d’argent.

Étude de rentabilité : un exemple concret à petite échelle
Prenons l’exemple d’un apiculteur amateur disposant de quatre ruches. Voici une projection réaliste de rentabilité sur trois années :
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Année 1 : Dépenses de 1 320 €, correspondant à l’achat de quatre ruches complètes (330 € chacune, incluant ruche, essaim, nourrisseur, cire, cadres et matériel de base). Les revenus, principalement issus de la vente de miel (environ 20 kg par ruche à 15 €/kg, soit 300 € par ruche), s’élèvent à environ 1 200 € pour quatre ruches. Résultat : un déficit de 120 €.
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Année 2 : Les investissements majeurs étant réalisés, les charges diminuent considérablement (300 €), couvrant essentiellement l’alimentation hivernale, les traitements sanitaires et l’entretien. Les revenus se maintiennent à 1 200 €, générant un bénéfice net de 900 €. Ces charges incluent le nourrissement, les traitements sanitaires, la cire gaufrée, les consommables de conditionnement (pots, étiquettes), ainsi que les frais de déplacement ou d’entretien courant.
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Année 3 : Dans les mêmes conditions, l’activité reste globalement stable, mais avec un investissement complémentaire de 60 € pour le renouvellement de deux reines (30 € chacune). Les dépenses annuelles s’élèvent donc à 360 €, générant un bénéfice net de 840 €.
👉 Conclusion : le cumul sur trois ans s’élève donc à +1 620 €, ce qui signifie que l’investissement initial est non seulement amorti, mais que le rucher devient une source de revenus complémentaires. À noter toutefois que cette projection suppose une stabilité des rendements. En cas de conditions défavorables (sécheresse, miellée écourtée, essaimages), une baisse de production à 10 kg/ruche réduirait les revenus de moitié, rendant la rentabilité plus lente. Une marge de sécurité reste donc indispensable. La vente ponctuelle d’essaims (entre 60 et 80 € pièce) peut également compléter les revenus et sécuriser l’équilibre économique dès la deuxième année.

Encadré complémentaire : éléments à pondérer dans l'analyse économique
L'exemple présenté repose sur des hypothèses moyennes et favorables. Il convient de garder à l'esprit plusieurs facteurs pouvant influencer significativement la rentabilité réelle d’un petit rucher :
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Variabilité des rendements : selon les conditions climatiques, florales ou sanitaires, une ruche peut produire entre 10 kg et 30 kg de miel par an. Le modèle repose sur une moyenne de 20 kg/ruche/an.
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Fluctuation des prix de vente : le miel peut se vendre entre 10 € et 20 €/kg selon sa nature, son conditionnement et le canal de distribution. Le prix de 15 €/kg retenu ici correspond à une vente directe bien valorisée.
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Coûts non comptabilisés : le modèle ne valorise pas le temps de travail de l’apiculteur, souvent important pour l’extraction, le conditionnement ou la gestion des colonies.
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Effet d’échelle : une exploitation plus importante permettrait de mutualiser certains coûts (matériel, élevage de reines), mais complexifie aussi la gestion et augmente les risques.
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Aléas sanitaires et environnementaux : les pertes de colonies, les sécheresses ou intoxications peuvent compromettre une saison. Une année blanche n’est jamais à exclure.
👉 En résumé, cette simulation reste un scénario-type. Elle illustre le potentiel d’un petit rucher géré rigoureusement, mais ne garantit pas une rentabilité automatique. La diversification (vente d’essaims, produits transformés) et la prudence financière restent les meilleurs alliés de l’apiculteur amateur.
Pour une apiculture raisonnée et viable
L’apiculture est une activité passionnante, mais elle repose sur des fondations techniques et économiques solides. Les économies de court terme — renoncer aux traitements, improviser la saison, acheter à bas prix — sont bien souvent des paris perdants.
Investir dans la santé des colonies, dans la planification de la saison, dans du matériel adapté et dans la formation personnelle constitue non seulement une stratégie plus durable, mais également plus rentable. Car en apiculture, ce qui semble coûter aujourd’hui peut sauver la récolte de demain.
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Références
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L’apiculture française à la loupe | La Volonté Paysanne
https://lavolontepaysanne.fr/lapiculture-francaise-a-la-loupe/ -
18 à 20 kg de miel en moyenne par ruche | Journal Paysan Breton
https://www.paysan-breton.fr/2019/01/18-a-20-kg-de-miel-en-moyenne-par-ruche/ -
Observatoire de la production de miel et gelée royale | France Agrimer
https://www.franceagrimer.fr/content/download/64874/document/SYN-%20MIEL- %20Observatoire%20miel%20et%20GR%202019.pdf -
Enquête sur les prix des miels en France | UNAF
https://www.unaf-apiculture.info/actualites/enquete-sur-les-prix-des-miels-en-france.html -
Rentabilité d'une ruche : Guide pour apiculteurs | CoachsDeManager https://www.coachsdemanager.fr/actu/118/quelle-est-la-rentabilite-d-une-ruche-pour-un-apiculteur
-
Analyse des retours de l’enquête relative aux mortalités hivernales de colonies d’abeilles | ADA AURA, ESA piloté par l’ANSES
https://www.frgdsaura.fr/assets/uploads/GDS%20RA%20Apiculture/Enqu%C3%AAte%20mortalit%C3%A9/Rapport_ENMHA_AURA_2021-2022-VF.pdf
